L’Anglais Qui Voulait Nettoyer La France" c’est un récit in your face de trois mois d'aventures en auto stop de Edmund Platt. Un homme vénèr et engagé part en croisade sur 8000 km contre l'industrie du plastique, les déchets sauvages et les jeteurs de l'hexagone. Cet originaire de Leeds raconte ses tranches de vie croisées, complètement atypiques et ses moments de spontanéité hilarants. Un roadbook chargé de coups de gueule magiques, de solidarité et du high energy comme si vous étiez dans son Go-Pro. Les liens interactifs qui accompagnent les chapitres (lescargotanglais.fr) illustrent sa relation love/hate avec la France, la planète et l'être humain. Mais pas que ... Entre les lignes parfois so funny, Eddie dévoile aussi une histoire familiale et le deuil d’un père adoré récemment disparu. Quand le flegme British jette un regard sur ses treize années de vie en France, notamment 7 ans à Marseille, on découvre que la richesse des sujets abordés nous concerne tous : les racistes, la drogue, le minimalisme, le porno, la malbouffe, la politique, notre société de surconsommation ...Quelle régalade ! "En 2021, en France, il y a plus de plastique par terre que de champignons. C'est mother fucking trop les gars ! Et c'est le même constat en Angleterre et partout dans le monde."
EDMUND PLATT Pourquoi cet ancien commercial et prof d'anglais devenu frontline militant-nettoyeur, conférencier et écrivain a parcouru 8000 km le pouce levé pour ramasser les déchets que 1 Français sur 3 jette toujours de sa voiture ? Pourquoi cette envie de dénoncer notre monde de surconsommation, les emballages et leurs lobbyistes, les plastiques à usage unique et l'urgence de ramasser au moins 1 déchet par jour everyday et de consommer moins ? Parceque nous sommes dans un état d'urgence au niveau de la plastification de nos mers et océans, aujourd'hui envahis par nos plastiques qui les étouffent. Et parceque selon une étude chacun d'entre nous ingère 5 grammes de plastique par semaine. "On a reçu des textos des dauphins, des moules et des fish’n’chips, ils n'en peuvent plus de notre merde chez eux." EP